Aux incorrigibles qui n’ont rien compris à la magouille américaine au Venezuela, ou ne veulent rien comprendre parce qu’obnubilés par le Yankee, je recommande la lecture du texte paru au Monde de ce 22.02.2019 : « Dans les coulisses de l’ascension de Juan Guaido… le tour de force de l’opposant vénézuélien, autoproclamé président par intérim, est le fruit de mois de tractations secrètes.
De Washington à Rio, en passant par les capitales latino-américaines et européennes, dont Paris, « Le Monde » a enquêté sur la préparation de ce coup de force institutionnel. »
« Donald Trump est à la Maison Blanche depuis deux jours et exige un briefing demandant si une intervention militaire au Venezuela peut être envisagée. »
Guaido est devenu sa marionnette utile.
Le Monde nous raconte les voyages secrets qu’il a effectués, pour se concerter avec le rustre de la Maison Blanche, le grand patron de tous les inoxydables occidentaux.
Ainsi apparaît très tôt la main prédatrice des Yankees et les innocents au pouvoir à Bruxelles n’ont rien vu venir – étant à la botte du Big Brother, Tusk (comment le qualifier ?) a aussitôt reconnu le président auto-proclamé et proposé par le patron – et dans sa suite notre bon Asselborn n’est pas resté en retard.
Une honte.
Le 22 février 2019.
Gaston VOGEL