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Mars Eusani: La face cachée du pays le plus riche de l’univers! 

Mars Eusani: La face cachée du pays le plus riche de l’univers!
Image par svklimkin de Pixabay

Le Luxembourg, souvent perçu comme un pays prospère – le pays le plus riche de l’Univers – avec un niveau de vie élevé, connaît  une augmentation du nombre de personnes vivant dans la pauvreté ou à risque de pauvreté, y compris parmi les actifs et surtout les retraités. Ce phénomène, souvent qualifié de “working poor” et des retraites qui vivent sous le seuil de pauvreté, soulève de nombreuses questions sur les inégalités sociales et les fragilités du modèle économique luxembourgeois.

Dans les années 1990s, les économies occidentales et aussi luxembourgeoise ont cessé de payer des salaires / retraites – de subsistance (“living wages” , Existenzminimum), la raison est politique et non économique. Ceci a eu comme conséquence, qu’aujourd’hui 60% des residents n’ont pas de salaires suffisants pour survivre au Luxembourg. Puisque le modèle économique luxembourgeois implique une croissance de sa population vers le million d’habitants. Alors se pose la conjecture,de subventionner 600.000 habitants pour qu’ils puissent résider au Luxembourg. À ce jour, les collectivités ne doivent qu’aider “500.000 résidents” avec les aides sociales et les services du Tiers-secteur – l’économie du trou noir luxembourgeoise!

Les élites qui ont eu lidée saugrenue de remplacer les “écarts salariaux” (Lohnlücken) par des transferts sociaux / et / ou avec laide des prestations par les agences du Tiers secteur et dONG – sans contrôles adéquats (Caritas, Benu, Piraten, DP, déi Greng, …) – nont qu’une idée en tête : la désindustrialisation et la destruction du économique et social luxembourgeois, ainsi que de ses travailleurs (alles alte weisse Männer). Cette  politique des transferts sociaux est

Image par kalhh de Pixabay

contraire à une politique de création de richesses au bénéfice de l ensemble de la population résidente, de la qualité de l’emploi, de la qualité de l administration publique, de la qualité de la vie sociale luxembourgeoise. On se demande ce que ces “elites” veulent au fonds obtenir au Luxembourg: une nouvelle société civile ou une économie fabulatrice?

L’érosion du lien salaire-productivité et les conséquences sociales sont d une telle ampleur qu’on ne peut se demander ce que les “universitaires et les think tanks” ne comprennent pas ce qu’ils ont mis en chantier. Le prix nobel d’économie de 2024 les contredits en tout – ” How societies fail / comment les sociétés échouent!”

La déconnexion entre l’augmentation de la productivité et la croissance des salaires – le remplacement – sans approbation démocratique – des salaires nécessaires à la survie au Luxembourg, par  le comblage par les aides sociales et services du Tiers-secteur. À ce même paradoxe, sajoute l’association dune baisse de productivité dans presque tous les secteurs de l’économie luxembourgeoise – surtout dans la construction, ce qui accélère l’inégalité croissante de la société luxembourgeoise. L’efficacité de salaires adéquats des économies capitalistes était depuis toujours liée à l’augmentation de la productivité de l économie de référence – un consensus partagé par les industriels, les syndicalistes, et les travailleurs. Ceci a promu le bien-être européen et luxembourgeois durant les trentes glorieuses – année par année des salaires croissants adéquats, s ouvrant sur une societe qui croyait dans un futur meilleur.

Afin de couper court à la discussion: la destruction de la productivité luxembourgeoise pourrait facilement être stoppée en égalisant les taux dimposition du travail et du capital. Arrêter de faire baisser le volume des salaires / retraites dans le poids du PIB et ainsi sauvegarder le pouvoir d achat des résidents.

L’augmentation des transferts sociaux depuis 40 ans est une évolution de “mauvaise augure” et alarmante et nourrit  l’économie luxembourgeoise du trou noir.  Elle est un signe de dégradation sociale,  ainsi qu’un échec économique, du modèle de l’Union européenne et un gaspillage de ressources.

L’effet d’hystérèse de l’euro à conduit à une baisse significative de la productivité totale des facteurs (PTF) et à un déficit d’investissement dans l’Eurozone, sans réaction aucune des responsables luxembourgeois, ainsi que l’apparition de phénomènes inconnus par la société luxembourgeoise:  renforcement des phénomènes de l’inegalite, des travailleurs pauvres, du risque de pauvreté généralisé, chōmage des jeunes luxembourgeois même diplômés, etc… .

Avec les cabinets de conseils internationaux et des “économistes” saugrenus il nous. servent une économie du trou noir: économie circulaire, économie du partage, et transition énergétique. Comme ces types de changements économiques n’ont aucune historicité, leur efficacité est encore à prouver, entretemps il détruisent tout ce qui a fait la richesse du Luxembourg.

L’euro a eu comme conséquence un déclin du secteur manufacturier et traditionnel et poussé à une transition vers une ” économie des services”, sans imaginer les conséquence économiques, financières et sociales.  La crise de la zone euro et les mesures d’austérité (Schwarze Nullen, Investistionsstau, …) qui ont suivi et perdurent la création de l’Eurozone, ont créé de l’incertitude, réduit les investissements et l’innovation. Le transfert de souveraineté à Bruxelles de la R&D a implique que l’Europe ne possède que peu des sociétés et de technologies de frontière et les salaires élevés qui l’accompagnent.

Ces changements économiques, imposés, ont eu comme conséquence néfaste l’apparition de phénomènes d’appauvrissement de la société luxembourgeoise en général. Aussi lUnion européenne (UE) na pas reconnu la prévalence et les défis de l’explosion des secteurs à bas salaires, des très bas salaires, des conditions de travail précaires et des opportunités davancement limitées, des “bullshit jobs”, des travailleurs pauvres (working poors), pauvreté des personnes âgées et un risque de tomber dans la pauvreté. Ce qui fait encore plus peur, ce que cela advient dans la zone economique la “plus riche” de l univers!

Image par Isabelle Blanchemain de Pixabay

Le prix nobel d’économie décernée aux trois “immigrés” américains – Daron Acemoglu, Simon Johnson et Jaems A. Robinson, n’ont de cesse d’analyser les causes des inégalités, de leur croissance et de l’appauvrissement généralisé. Pourquoi les États sont en perte de vitesse et peuvent devenir des “failed states” – des États en faillite.

Après les salaires, les élites maudites s’attaquent sans gêne aucune, aux retraites des luxembourgeois. La baisse de la part salariale dans le PIB a comme conséquence la baisse des cotisations sociales destinées à financer les retraites au Luxembourg. Au lieu de discuter ces faits on préfère parler de vieillissement de la société, de l’épidémie des maladies chroniques, de la chance d’immigration massive d’analphabètes et sans formation.

 

 

Ce que les soi-disants “économistes” n’ont pas encore relevé qu’il y a des ” Bons emplois” et des “Mauvais emplois” se concentrent sur la coexistence d’emplois à salaire élevé et à bas salaire au sein des marchés du travail luxembourgeois. La composition des emplois dans un marché non réglementé / libéralisé est biaisée de manière inefficace en faveur des emplois à bas salaire. Le prix nobel 2024 en fait la preuve!

Un vrai salaire de survie au lieu d un salaire officiel minimum et l’assurance chômage peuvent modifier la composition de l’emploi en faveur des bons emplois. Ces réglementations augmentent la productivité moyenne du travail et améliorer le bien-être général.

Le marché non réglementé du Tiers-secteur au Luxembourg (supporté uniquement par une immigration massive de personnes sans compétences) favorise les emplois à bas salaire, ce qui conduit à une allocation inefficace des ressources et à une croissance économique plus faible. La différence de productivité par an sont de € 200.000 pour l industrie technologique à € 15.000 pour le Tiers-secteur. Comment peut on miser 30 milliards sur un secteur à productivité des plus ridicules et en sachant que cela est seulement possible aussi longtemps que le secteur financier luxembourgeois génère des profits exorbitants.

Les politiques qui soutiennent les bons emplois, comme les investissements dans l’éducation et la formation, l innovation, les startups de rupture aide la force de travail à acquérir les compétences nécessaires pour des postes mieux rémunérés.

Les idées tirées de « Good Jobs versus Bad Jobs » sont pertinentes pour les débats contemporains sur la polarisation de l’emploi, l’inégalité des revenus et l’avenir du travail.

Image par Kevin Seibel de Pixabay

La prévalence de bons emplois est liée à une croissance économique plus élevée, à une innovation accrue et à une amélioration du bien-être social. À l’inverse, une prépondérance de mauvais emplois conduit à une croissance faible / ou stagnante, à des inégalités et à des problèmes sociaux. Aussi que le Luxembourg devient un “failed State”! Les vrais statistiques ont font déjà le preuve!

La part des salaires dans le cadre du financement des retraites

La part des salaires indique le rapport entre les salaires / traitements et le produit intérieur brut (PIB) – la répartition de la valeur ajoutée nationale. C’est un indicateur de répartition des revenus entre travail et capital. Une baisse de la part des salaires / retraites signifie quune part plus importante des revenus revient aux propriétaires du capital, tandis que les travailleurs / retraités en reçoivent une part plus faible.

Étant donné que les cotisations de sécurité sociale engendres par le revenu du travail, un taux de salaire inférieur / des salaires ridicules / des très bas salaires, en deçà du niveau de survie, entraînent une diminution des cotisations pour l’assurance retraite.

Image par svklimkin de Pixabay

Afin de maintenir le niveau des retraites, il faudrait augmenter les cotisations des salariés, ce qui pourrait entraîner une charge plus lourde pour les salariés, dont la majorité au Luxembourg (60%) vit en deçà du revenue de subsistance est une idée folle.

Le changements du système de taxation entre capital et salaires entrainera plus de croissance et plus d’innovation, ce qui va mettre fin à la nécessite de grignoter année par année salaires et retraites luxembourgeoises afin de satisfaire les idées imbécilles qui ont cours au Luxembourg

L’évolution des cotisations sociales dépend uniquement de la part salariale. Toutes les autres raisons comme le changement démographique, les cassures technologiques , qui impliquent une réforme du système de retraite : le relèvement de l’âge de la retraite ne vont d avoir d’effet que de faire baisser la pathologie qu’on veut traiter.

Promouvoir un” living wage” au lieu du salaire minimum qui ne permet pas de survivre au Luxembourg, même la Commission européenne et le Parlement européen reconnaissent cette nécessité; Directive sur un salaire minimum adéquat (2022) : garantit que le salaire minimum est fixé à un niveau approprié dans tous les États membres de l’UE. 60% du salaire médian du secteur économique et 50% du salaire moyen.

     L’économie luxembourgeoise sous la coupe de la finance

La prépondérance du secteur financier dans l’économie luxembourgeoise soulève des questions sur la stabilité financière du pays et sur sa capacité à diversifier son économie. Une crise financière internationale pourrait avoir des répercussions destructices sur l’économie luxembourgeoise et sur l’emploi et les transferts sociaux.

L’euro a eu des effets complexes et contradictoires sur l’économie luxembourgeoise. Si elle a apporté une stabilité monétaire et favorisé le développement du secteur financier, elle pose des défis en termes de compétitivité, d’inégalités et de vulnérabilité aux chocs externes. Pour faire face à ces défis, le Luxembourg doit poursuivre ses efforts de diversification économique, renforcer sa cohésion sociale et améliorer la régulation du secteur financier. Sa seule réponse est d’avoir favorisé le développement de l ogre du Tiers-secteur, qui entretemps est devenu un état dans l État avec des volumes financiers exorbitants ( € 30 – 50 milliards), le PIB “officiel”de € 90 milliards et “inofficiel” de € 150 milliards.

Le coût du logement, des transports et de la vie en général est particulièrement élevé au Luxembourg, ce qui rend difficile pour certaines personnes de joindre les deux bouts malgré un emploi. Si les salaires moyens sont élevés, les écarts entre les hauts et les bas salaires sont importants. De nombreux emplois, notamment dans les services, sont faiblement rémunérés.

La multiplication des contrats à durée déterminée, des temps partiels et des emplois atypiques fragilise la situation financière de nombreux travailleurs.

Une partie importante de la richesse nationale est concentrée entre les mains d’une minorité, ce qui accentue les inégalités.

L’arrivée massive de travailleurs frontaliers et de nouveaux résidents exerce une pression sur le marché du travail et les services sociaux et favorise les emplois à salaires et très bas salaires.

Il est temps de mettre un point final à ces politiques malheureuses!

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