Les “Gréng”
Conspuer, exclure, accuser, dénoncer, maudire, ridiculiser tous ceux qui ne partagent pas leurs discours catastrophiques sur le changement climatique fait partie du programme quotidien de ces sectaires que sont les “Greng”.
Aux éditions Lattès, vient de paraître un opuscule de 280 pages sous le titre “Toutes ces idées qui nous gâchent la vie”, signé Sylvie BRUNEL, géographe, professeur à la Sorbonne, spécialiste des questions de développement, elle a travaillé pendant plus de quinze années dans l’humanitaire.
Cet ouvrage s’adresse aux BAUSCH, DIESCHBOURG et autres GRENG qui ne cessent de démobiliser et démoraliser la société en véhiculant des thèses qui ont valeur de dogme et qu’il ne faut surtout pas critiquer sous peine de passer à leurs yeux pour un idiot du village.
Et pourtant, comme l’affirme, à juste titre BRUNEL :
“De tout temps, l’humanité a dû, pour faire face à l’adversité du chaud, du froid, de la fonte, inventer le polder, l’irrigation, la culture en terrasses, les digues, le pastoralisme”.
Qu’est-ce qui a fait que le Sahara, qui était un merveilleux jardin deux mille avant notre ère, soit devenu un désert immense sans aucune possibilité de régénération ?
Elle continue :
“Croire que les écosystèmes sont figés et qu’il faut les mettre sous cloche pour mieux les protéger est une erreur : il n’y a pas d’optimum, ni climatique ni écologique, de moment idéal où il faudrait arrêter le cursus”.
Et puis l’auteur pose une question qui inondera d’adrénaline le cerveau des sectaires :
“Et quid si le changement climatique n’était pas forcément une mauvaise nouvelle ?”
Nous déplorons que les hautes latitudes glaciales se transforment rapidement en regrettant un passé idéalisé. Mais les Inuits vivaient dans la faim chronique et sacrifiaient leurs personnes âgées faute de pouvoir nourrir ces bouches inutiles.
Dans l’histoire, les périodes chaudes ont toujours été qualifiées d’optimum climatique.
Le réchauffement est une bénédiction pour la Russie, le Groenland, l’Alaska, le Canada …”
J’entends les Verts vociférer.
C’est tout juste s’ils ne commandent pas l’ambulance pour internement et nomination d’un tuteur.
“Oh Mamm – avez-vous lu ce qu’écrit cet imbécile ?” Le commentaire des Verts me sonne à l’oreille.
Faut-il conspuer Sylvie BRUNEL qui à l’éminent courage d’écrire ces évidences à un moment où le contraire est prêché urbi et orbi par le Gutmensch ?
Terminons sur cette saine réflexion de ce professeur à la Sorbonne.
“Les discours catastrophiques sont démobilisateurs et ne tiennent pas compte de la capacité des hommes à innover et à coopérer.”
Gaston VOGEL
Si Sylvie BRUNEL n’est seulement qu’un humble professeur de la Sorbonne a Paris, tandis que Le vert Monsieur Bausch est un „Super – Billietsknipser“ au G -D de Luxembourg‼️
Bien ecrit Mons. VOGEL
[…] In another post, Kaiser argues that the recent trend in sea level rise, which started approximately at the end of the 19th century and has been constantly accelerating since and which is driven by thermal expansion of seawater and the melting of land-based ice sheets and glaciers (both demonstrably due to human-caused global warming), is unproblematic: “… eise Planéit läit weiderhinn absolutt an der Norm: déi lescht 18.000 Joer ass d’Mier pro Joerhonnert ëm exakt 66 Zantimeter eropgaangen!“ He claims that because the current speed of the sea level rise is not higher than the average rate of change over the last 18’000 years (125 meters in total), there is nothing to worry about. Gaston Vogel argues along similar lines by citing Sylvie Brunel, a French geologist, who writes “D… […]