L’auteur regrette les commentaires “puants” sur les médias sociaux dans sa nouvelle lettre.
Le Facebook est devenu une vase immense d’où remontent des relents qui coupent le souffle, à tel point ils sont puants. C’est la pourriture de poubelle qui nous fut épargnée à la belle époque où ces idiots réseaux sociaux n’existaient pas.
Lu récemment sous la signature d’un ancien flic commentant une embarcation remplie de réfugiés en désarroi :
“E pur gud pracéiert Topedoen an de Spuk as um Enn.”
Que dire de telles inouïes conneries et méchancetés ?
Gaston VOGEL